Premier semestre de mon apprentissage en tant que ASSC

Cela fait maintenant plus de 5 mois que j’ai débuté mon apprentissage en tant qu’assistante en soins et santé communautaire au sein de ASAD à Bévilard. Les premières semaines ont été très stressante, reprendre un travail à 100% et savoir si l’organisation familial mis en place allais fonctionner.

Mon retour à l’école c’est fait le même jour que la rentrée d’école enfantine de ma fille de 4 ans, cette journée-là était donc exceptionnel pour toute la famille. J’ai pu rencontrer ma classe avec des élèves beaucoup plus jeune que moi, je m’inquiétais vraiment de savoir comment cela allait se passer pour le futur, mais après 2 semaines d’école des liens ont été créer et de belle rencontre se sont faite au sein même de cette classe. Je pense que chacun de nous, peu importe l’âge a toujours quelques choses de positifs à apporter. Je croise également d’autres Adultes du projet 3 de « 2ème chance pour une 1ère formation »au sein du Ceff, cela nous arrive donc d’échanger quelques mots sur nos journées, notre expérience ou simplement des mots d’encouragements.

Tout le monde me soutient

Concernant les premières semaines chez mon employeur, je me suis dès le premier jour sentis soutenus par tout le monde. Tout le monde est bienveillant et d’un soutien énorme afin de m’offrir les plus grandes chances de réussites pour ce CFC.

Je suis très heureuse de la voie que j’ai choisie pour faire mon apprentissage. Chaque jour est différent et chaque rencontre est exceptionnelle. J’apprécie énormément me lever le matin pour apporter un peu de mon aide au gens qui ont besoin d’être soutenue dans certains gestes du quotidien. J’aime beaucoup apprendre de chacune des personnes que j’accompagne sur le terrain, leur expériences et conseils sont très enrichissants. J’ai également un énorme soutien de mes formatrices qui sont toujours présentes dans mes questionnements, mes doutes et mes besoins !

Il me reste effectivement plus beaucoup de temps pour moi, car l’école et le travail me prend énormément de temps. Il faut évidemment encore bosser à côté de l’école et du travail et parfois la fatigue ou une baisse de motivation peut se faire ressentir. C’est aussi un métier qui peut être parfois dur physiquement et psychologiquement. Mais Les encouragements des gens qui m’entourent sont précieux et je sais tout de même m’organiser des moments détente afin de faire le plein d’énergie. C’est aussi quelque part un peu de sacrifice familial, mais tout le monde est compréhensible et sais à quel point ce projet me tient à cœur.